Le non-jugement est un des concepts clés associés à la pleine conscience, à l’impermanence de toute chose, au bouddhisme.

Or, j’ai retrouvé ceci dans la revue Psychologies.

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« Le non-jugement est une clé pour aimer »

Patrice Gourrier, prêtre et psychologue.

Psychologies : L’Evangile est parsemé d’exhortations au non-jugement. Comment les entendre ?
Patrice Gourrier : Il faut les lire comme les corollaires du deuxième commandement, « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Il s’agit à la fois de ne pas juger l’autre et de ne pas se juger soi-même. Le jugement naît toujours de la peur. Or, on ne peut être à la fois dans la peur et dans l’amour, et tout le message de l’Évangile tient dans ses mots : « Aimez- vous les uns les autres. » Le non-jugement est une clé pour mieux aimer et mieux s’aimer.

Extrait de : J’ai essayé de ne plus juger, 24 juin 2020, Flavia Mazelin Salvi, revue Psychologies.

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En ce qui me concerne, je semble avoir plus de mal à ne pas me juger moi-même qu’à ne pas juger les autres. Je manque d’auto-compassion, et prendre soin de moi-même me pose de grands défis.

Je chemine, humblement, je chemine…