Et me voici retrouvant mon carré de sable. Mon seau, ma pelle et mon mini-râteau m’y ont attendu sagement.
J’entreprends d’ores et déjà d’y construire le château dont j’ai eu mille fois le temps d’imaginer l’architecture tarabiscotée, alors que je reposais entre les draps de mon lit d’hôpital, de réadaptation, puis de convalescence.